Édito du Président

Maître Hermen LUMINI

Dans le cadre de l’observatoire de la fiscalité et de la parafiscalité de la RDC, entouré d’une équipe pluridisciplinaire, son Président met à votre disposition les compétences personnelles suivantes :

Une formation universitaire ainsi qu’une expérience en matière budgétaire et fiscale certifiée. Titulaire du Diplôme (DEA) en finances publiques et fiscalité (Université d’Auvergne, France)
Une vingtaine d’années d’expérience en tant qu’avocat au barreau de Paris ainsi qu’a celui de Seine Saint-Denis (France)
Enseignant pendant 4 ans à l’Université d’Auvergne (France) dans des disciplines juridiques diverses dont la fiscalité et les finances

Editorial

« Mossapi moko essokolaka

elongi te*  »

Proverbe congolais

L’amélioration d’un système fiscal dans un état de droit quel qu’il soit ne peut résulter que d’un équilibre subtil entre les trois paramètres suivants: les nécessités budgétaires, les attentes des contribuables et les limites qui résultent de la science fiscale.

L’administration fiscale congolaise ne peut s’ériger en artisan exclusif de la mise en oeuvre d’un nouveau système fiscal. Malgré tout l’acharnement dont il peut faire preuve, le fisc de la RDC ne peut hélas y arriver seul, car son organisation, ses pratiques et une grande partie de ses hauts fonctionnaires, font partie du problème. Il en est ainsi depuis que la RDC existe, hèlas!

Dans un pays où la presse d’investigation en matière financière ou fiscale en est encore qu’à ses balbutiements, où la quasi majorité des élus ne disposent pas encore des moyens en personnel ou en formation, pour faire entendre leur voix d’une manière pertinente en ce qui concerne la fiscalité, l’OFIPAC se veut une institution susceptible de proposer des analyses pertinentes et objectives en matière fiscale, ainsi que des formations aux acteurs locaux qui interviennent dans des débats concernant la fiscalité et les finances publiques.

le systeme fiscal congolais depuis, le depart de l’adminstration belege en 1960 n’a jamais fait preuve de son efficience. Actuellement elle se focalise sur la maximisation de l’impot ,une demarche, contreproductif a moyen terme si on en croit la science fiscal, notamment « la courbe d’Arthur laffer ». par exemple Le cout de l’impot n’est pratiquement pas interroger. celui des marges ou de la capacité contributive est egelement quasi inexistant sans paler de la part congrue de l’impot dans les recettes budgetaire ou encore celui de la transparence des donnée fiscaux ou de leur interpretaions

Hermen Lumini

* Un seul doigt ne peut suffire pour laver le visage. Proverbe congolais, équivalent du proverbe occidental l’union fait la force.

Vous avez la possibilité de consulter directement les juristes et les fiscalistes de l’observatoire, pour des situations particulières et des questions techniques, de manière confidentielle

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